ليان مسلّم

ليان مسلّم

ليان مسلّم

Albert Geokgeuzian, Staff Writer

Last time we discussed the story of Nation Station; this time, we’ll discuss a potential Nation Station restaurant, and if you thought Nation Station only helped beneficiaries with food, think again. Nation Station has had a medical clinic that focuses on people’s health. What the clinic has done has been outstanding, only outclassed by what they intend to do in the future.

Maria Wehbe, Featured Writer

When thinking of Lebanon, one does not simply think of those residing within the country’s borders: so many Lebanese expatriates live all over the globe, accounting to over 16 million, although Lebanon’s population is around 6 million; a very big contrast to say the least. Although some people are fortunate enough to have the choice of leaving, this isn’t the case for everyone. Being Lebanese today has never been tougher, given the extreme lack of resources and the dependency on international aid: they aren’t able to provide food nor medication for their families, nor can they fill up their cars with gas in order to go to work given the shortage of fuel, and the list goes on. This is why it is vital for the Lebanese diaspora to come in aid to the country today more than ever: they can change their co-patriots’ outcome in more ways than one and can make way for improvement and prosperity. However, there’s only so much they can do and in the long run, their help and aid might not secure the country with the future it is looking for.

John Sakr, Contributor

After almost a year and a half of university life being conducted online, the American University of Beirut is vaccinating all its community members in hopes of returning to campus and resuming offline activities in the upcoming fall semester. This self-running machine of university members vaccinating others is quite efficient, but is it efficient enough?

Hestia Akiki, Rédactrice

Ce n’est un secret pour personne : la communauté LGBT+ du Liban rencontre de nombreuses difficultés au quotidien, et comme toutes celles de par le globe, elle doit faire face à un fardeau supplémentaire : les thérapies de conversions. Basée sur la conception erronée que l’homosexualité est une maladie et qu’elle peut être guérie, elle constitue une véritable torture pour ses victimes. C’est ce que décrète en 1992 l’Organisation mondiale de la santé et en 2013, la société libanaise de psychiatrie et l’association libanaise de psychologie. Cependant, malgré ces deux condamnations on observe toujours au Liban, comme dans d’autres pays, ces manœuvres. Dans le but d’achever ce supplice absurde au Liban, une ONG, LebMASH, décide d’intervenir.

John Sakr, rédacteur

Alors que le Liban vit l'une de ses périodes les plus sombres depuis des décennies, avec des pénuries de carburant, des coupures de courant et l'indisponibilité de médicaments basiques et nécessaires, on pourrait penser que le pays est destiné à un effondrement complet. Alors que l'on s'attend à ce que l'économie s'éteigne lentement et que la nation méditerranéenne perde tout ce qui a fait sa renommée, les affaires sont - étonnamment - plus florissantes que jamais.

John Sakr, Contributor

As Lebanon dwells into one of its darkest times in decades, with fuel shortages, power cuts, and the unavailability of basic and necessary medicine, one would think that the country is destined for complete collapse. While the economy is expected to slowly die, and the Mediterranean nation to lose all it once was notorious for, business is – surprisingly – booming like never before.

بشرى مرعي

Hestia Akiki, Rédactrice

Alors que le Liban sombre de plus en plus dans des crises multiples, un homme d’affaires palestinien né à Beyrouth décide de lancer la première voiture électrique libanaise. Dans l’un des pays ayant le pire réseau d’électricité au monde, le défi semble de taille. Saura-t-elle s’élever en dépit de tous les obstacles ?

By Maria Wehbe, Featured Writer

Lebanon, once known as the Paris of the Middle East, is facing difficulties upholding this title, given the turmoil and chaos it is currently facing: from the economic crisis, to the deadly COVID-19 pandemic, to the hyperinflation, and to put the cherry on top, the devastating 4th of August Beirut Port Explosion. Most sectors have been affected as a result of the accumulation of all of these events, and one that took one of the biggest hits was the tourism sector. Thus, Lebanon has to depend on its own people in order for the sector to prosper – this is a chance for us to discover our country even more and what it truly has to offer.

Hestia Akiki, rédactrice

La terminale, le baccalauréat, puis l’université, dernier virage avant d'aborder sa vie d'adulte: projets, espoirs et rêves déferlent alors à perte de vue … Pourtant, pour les jeunes Libanais, l'utopie semble déjà loin. Pandémie, enseignement à distance, crise économique, universités financièrement inaccessibles, explosion en pleine face balayant leurs écoles et idéaux, et enfin décisions ministérielles n'ont fait qu'alourdir le fardeau de leur dernière année scolaire. Quelles sont les difficultés qu’ils rencontrent? Nous sommes partis à la rencontre de cinq d’entre eux pour mieux comprendre leur situation.

Edward Sfeir, rédacteur

Le 11 février, à l’occasion de la journée mondiale de la femme dans la science et la recherche, la Professeure associée Zeina Hobaika Khoury, chef du département des Sciences de la Vie et de la Terre – Biochimie à la Faculté des Sciences (FS) de l’Université Saint Joseph de Beyrouth (USJ), accorde une entrevue à The Phoenix Daily pour faire découvrir son parcours dans la recherche et la situation actuelle de ce monde qui la fascine au Liban. Une opportunité pour célébrer, ce 8 mars 2021, la journée mondiale de la femme.